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Le mouvement social utilise tous les moyens de communication afin d’informer et de médiatiser leur revendication. Le blog est devenu un outil de cette démarche.

Je tiens par ce message à saluer cette initiative et à apporter tout mon soutien aux salariés d’Aramice .

Pour suivre leur mouvement, le BLOG de la Grève d’Aramice

Le PS d’Orléans condamne l’assaut israélien


Lundi 31 mai, l’armée israélienne
attaque un convoi humanitaire international qui tentait de venir en aide au peuple palestinien. Les socialistes orléanais condamnent fermement cette attaque, et la transgression des droits de l’Homme qu’elle représente, restent solidaires du peuple palestinien et assurent leur soutien aux familles des victimes


Le Parti Socialiste d’Orléans tient à rappeler sont attachement aux valeurs de paix et de fraternité. Avec ces attaques incessantes, Israël renforce les extrémistes palestiniens, violents. En semant la violence, ils récolteront une colère encore plus forte.


Le Parti Socialiste d’Orléans appelle donc l’ensemble des élus de la République, quel que soit leur étiquette politique, à condamner fermement cette attaque aux droits de l’Homme


I
l s’associe à la manifestation de soutien au peuple palestinien Vendredi 4 Juin à 18 h Place du Martroi à Orléans.

St Jean de Braye vient de rejoindre les villes qui organisent des cérémonies en mairie pour les couples pacsés. On se souvient du refus du maire d’Orléans. La « démarche d’ouverture » de David Douillet va-t-elle influencer Serge Grouard et le pousser à mettre en place ces cérémonies  ? Je le souhaite…

Sur ce sujet:

Saint-Jean-de-Braye fête les couples pacsés ! (Tribune d’Orléans)

Orléans: le maire UMP refuse le pacs en mairie (Tétu)

Orléans: PACS en mairie ? (Question orale en Conseil Municipal) (Place de la République)

Vu dans la presse

Après La République du Centre et la Tribune d’Orléans, c’est au journal Tétu de reprendre cette information en une de son site Internet.

A Orléans, David Douillet décoré… de l’arc-en-ciel gay (Tétu)

REVUE DE PRESSE. La «République du Centre» raconte comment, par l’astuce d’un conseiller municipal, le député pas très tendre avec les homos s’est transformé en porte étendard de la cause gay.

David Douillet portant fièrement au revers de sa veste l’arc-en-ciel gay, qui l’eût cru? C’est pourtant ce qui s’est passé le week-end dernier à Orléans, qui organisait ses traditionnelles fêtes de Jeanne d’Arc pour commémorer la libération de la ville par la pucelle de Donremy.

Tout commence par la polémique qu’a provoqué l’annonce de la venue de l’ancien judoka comme invité d’honneur. Si le maire Serge Grouard (UMP) justifiait son choix du champion olympique de judo par l’incarnation «des valeurs d’une France qui peut gagner», d’autres ont grincé des dents. Le député UMP avait en effet écrit, dans un livre paru en 1998, «On dit que je suis misogyne, mais tous les hommes le sont. Sauf les tapettes!» Des propos pas très conformes aux valeurs de Jeanne d’Arc, estiment-ils (dans cette interview, il y répond: «Ces propos ont été retirés de leur contexte… Je tiens aussi à vous dire que j’ai des amis homos. Et puis, vous connaissez le milieu sportif. Lorsqu’on dit “Fais pas ta lopette!”, cela ne veut pas dire que l’on est homophobe»).

L’association LGBT locale, le Groupe action gay et lesbien du Loiret (GAGL), s’était émue de la présence dans la capitale régionale du Centre de l’ancien champion de judo, dans un texte intitulé «Notre Jeanne d’Arc serait mieux au foyer!», indiquant qu’ils attendent «de la République et de ses invités officiels qu’ils-elles en portent les valeurs. (…) David Douillet, en l’occurrence, n’en est pas porteur».

Le rainbow flag au revers
Afin de montrer leur désapprobation, les élus d’opposition socialistes, verts et apparentés avaient décidé de porter un autocollant arc-en-ciel à proximité de leur écharpe rouge et or de conseiller municipal. Poussant un peu plus loin le bouchon, Baptiste Chapuis, conseiller municipal PS, a, lors de l’accueil officiel de David Douillet à l’Hôtel de Ville d’Orléans, proposé à ce dernier d’en accrocher un a sa veste, raconte La République du Centre (10/05).

Le député UMP, qui avait tenté peu avant, sur les ondes de France Bleu Orléans, de minimiser ses propos, a accepté l’offre sans broncher. Son hôte Serge Grouard l’a, lui, refusée.

Pour le pacs en mairie
David Douillet ne se défera pas de son insigne tout au long de la fête, y compris lors de son discours officiel devant la cathédrale d’Orléans, devant un large parterre d’autorités civiles, militaires et religieuses, ou au moment de serrer la main de Jeanne d’Arc (capture d’écran ci-dessus), photo reprise à la une du quotidien local!

Le socialiste Baptiste Chapuis a profité de l’occasion pour militer en faveur de la célébration du pacs en mairie d’Orléans, comme cela se fait déjà dans les communes socialistes voisines de Saint-Jean de Braye et de Saint-Jean de la Ruelle.

(Source )

Dans leur participation au débat sur les retraites, les socialistes posent trois conditions.

D’abord la sauvegarde du système par répartition. En clair, les salariés payent des cotisations qui sont reversées aux retraités. «Ce n’est pas chacun se débrouille en plaçant de l’argent qui va lui rapporter, c’est la solidarité entre générations», a résumé la première secrétaire du PS.

Ensuite, le maintien du droit de départ à la retraite à 60 ans. C’est la question qui a cristallisé le débat cette semaine. L’allongement de la durée de cotisation a poussé l’âge moyen de départ en retraite à 61 ans et demie environ. Mais il y a une incohérence: même si vous avez cotisé tous vos trimestres – soit 40 ans et demi actuellement – il est impossible de partir en retraite avant 60 ans. Certains prennent leur retraite à 61 ou 62 ans aujourd’hui. Mais ceux qui ont travaillé tôt ou qui exercent un métier pénible doivent pouvoir cesser de travailler à 58  ou 59 ans.

Et évidemment, l’allocation pour chaque retraité d’un niveau de pension qui lui permette de vivre décemment. Actuellement, c’est tout l’inverse:  la moitié des retraités touchent moins de 1.000 euros par mois. Et un million d’entre eux vivent sous le seuil de pauvreté. Normal? Non.  Mais tristement logique: depuis la réforme Balladur , le niveau des retraites a baissé de 20%. Et une nouvelle baisse de 25% est à prévoir dans les années à venir.

Pour parvenir à cet objectif, le PS se laissera guider par deux principes.

Avant tout, des règles justes. Dans la prochaine réforme des retraites, il faudra prendre en compte la pénibilité du travail. Ainsi, les salariés exerçant les métiers concernés auront la possibilité de partir en retraite avant 60 ans, s’ils ont validés leurs trimestres. De même, les salariés qui sont entrés sur le marché du travail tôt et qui ont validé le nombre requis d’années de cotisations pourront partir avant 60 ans.

Une vraie politique pour l’emploi des seniors. Comment débattre sérieusement de l’âge de départ à la retraite quand parmi les plus de 55 ans, seul une personne sur trois a un travail? Les socialistes participeront à ce débat avec la volonté de permettre à tous de garder un égal accès à l’emploi.

Une fois ces principes affirmés se pose la question du besoin de financement de notre système de retraites: contrairement à ce que disait Nicolas Sarkozy en 2007, il n’est pas équilibré jusqu’en 2020. Il y a même urgence: nous avons besoin de 25 milliards d’euros d’ici 2012, et 68 d’ici 2050. Face à cela, il y a des moyens:

Que les salaires ne soient plus les seuls à financer les retraites. Aujourd’hui, les cotisations retraites ne reposent que sur les salaires. Il est tout à fait envisageable de prélever des cotisations sur les revenus de la valeur ajoutée. Le Fonds de réserve des retraites, laissé à l’abandon par la droite, serait  également d’un secours profitable.

Le PS propose également de prélever des cotisations sur les stocks options, comme l’a préconisé Philippe Seguin. A la clé: rien de moins que 5 milliards d’euros pour contribuer à l’effort de solidarité que représente notre système de retraites.

C’est armé de de ces principes que le PS s’engagera dans le débat, et rencontrera les organisations syndicales, qui doivent rester les interlocuteurs privilégiés du gouvernement.

MERCREDI 23 JUIN

19H : VINCENT VIALA TRIO
20H30 : GENERAL ELEKTRIKS
22H30 : CHRISTOPHE & GUEST ERIK TRUFFAZ

JEUDI 24 JUIN

19H : FEDERATION FRANÇAISE DE BARYTON
20H30 : EDDY LOUISS
22H30 : BIRÉLI LAGRÈNE TRIO – INVITE DIDIER LOCKWOOD

VENDREDI 25 JUIN

19H : TAKE 3
20H30 : CANDY DULFER
22H30 : MARCUS MILLER « TUTU REVISITED »

SAMEDI 26 JUIN

20H30 : RACHID TAHA
22H30 : SALIF KEITA

Plus de renseignements www.orleansjazz.fr

VU dans les bars orléanais

Opération « Ville Éteinte », Orléans n’écoute plus que les voix de Jeanne d’Arc sans entendre les voix des citoyens

APPEL à la SOLIDARITE envers le BLOGUEUR « FANSOLO »
Il y a quelques mois, vous êtes environ 500 à avoir signé la pétition de soutien à Antoine Bardet, dit « Fansolo ».  (voir la pétition ici : http://www.lapetition.be/en-ligne/orlans-le-droit-de-rire-en-danger-3105.html)
Ce blogueur était poursuivi par Serge Grouard, maire d’Orléans, pour avoir écrit, quelques semaines avant la campagne des municipales 2008, un blog internet humoristique à son sujet.
(Vous pouvez en consulter la copie hébergée par Reporters Sans Frontières ici :  http://antoinebardet.rsfblog.org/)
Fansolo a été condamné une première fois le 8 octobre 2008, en référé, et l’Appel intervenu le 22 mars 2010 a confirmé et renforcé ce jugement, considérant que Fansolo avait « dénigré » Serge Grouard. Pour la première fois, donc, à notre connaissance, un humoriste est condamné pour dénigrement d’un homme politique. Jusqu’ici, seules des marques, des sociétés commerciales, pouvaient être « dénigrées ».
Compte tenu du contenu insignifiant du blog incriminé, nous sommes vraiment inquiets pour la liberté d’expression. Les conséquences directes de cette affaire sont disproportionnées :
Fansolo a été contraint de changer de travail, de déménager avec sa famille dans une autre région, d’assumer plus de 13 000 € de frais de défense. Il est à présent condamné, suite aux deux jugements, à verser près de 16 000 € (seuls 10 000 devraient réellement lui être réclamés du fait que les publications payantes dans la presse ne devraient pas être effectuées).
Un premier appel à la solidarité, en 2008/2009, avait permis de récolter 55 dons (par Paypal et par chèque), nous permettant de verser à Fansolo un soutien financier de 3 692 €.
Ce soutien lui a été très utile pour gérer une partie de ses frais d’avocats, mais cela ne suffit pas, bien sûr.
Si, comme nous, vous êtes choqués par la démesure de cette affaire, n’hésitez pas, et
apportez-lui votre soutien en envoyant un don qui permettra d’alléger les sommes dûes.
Vous pouvez :
1/ adresser un chèque à l’association qui héberge un compte ouvert spécialement pour l’occasion :
La Lettre d’Arthur – Solidarité
6 boulevard de Québec
45000 ORLEANS
(Le chèque est à faire à l’ordre de « La Lettre d’Arthur – Solidarité »).
2/ effectuer un don directement «en ligne» par le service sécurisé PAYPAL, en vous rendant sur le site http://lesamisdefansolo.com
Un point est publié régulièrement ici :
Merci beaucoup d’avance de votre soutien !

Rendez-vous à 10h30, place de la Loire (face au cinéma Pathé)

Merci au PS de la Source pour les images

Libéorléans:

Agression d’un chauffeur: la paralysie des transports orléanais prend une tournure politique

Le Figaro

Transports paralysés à Orléans

NouvelObs

Orléans : transports en commun suspendus après l’agression d’un chauffeur de bus

Agressions répétées : l’échec de la politique sécuritaire dans les transports orléanais

Communiqué:

Agressions répétées : l’échec de la politique sécuritaire dans les transports orléanais

Encore une fois, Orléans et son agglomération se retrouvent sans transports en commun.

Encore une fois, la grève des conducteurs du réseau Semtao fait suite, bien légitimement, à une agression particulièrement violente.

Rappelons pour mémoire les agressions survenues depuis un an :

–          26 juin 2009 : agression d’un conducteur de bus provoquant un premier droit de retrait des conducteurs du réseau

–          9 février 2010 : braquage d’une conductrice de bus et vol de la caisse

–          10 février 2010 : agression d’un conducteur de bus

–          18 mars 2010 : agression de contrôleurs de bus

–          9 avril 2010 : caillassage du tramway

–          23 avril 2010 : agression et tabassage d’un conducteur de bus

Rappelons également l’opération escargot menée par les conducteurs de bus le 30 mars dernier pour attirer l’attention sur leurs conditions de travail et l’insécurité.

Pourtant, que d’argent dépensé pour, soi-disant, sécuriser les transports orléanais !

– Des caméras de surveillance à certaines stations dont on se demande ce qu’elles réussissent à prévenir.

– Une brigade intercommunale des transports de plus de 20 personnes que l’on voit plus souvent en groupe de 5 ou 6 accompagnant les contrôleurs plutôt que, par deux, accueillir, accompagner et sécuriser les bus et trams qui en ont besoin.

Et malgré ces mesures, toujours plus couteuses, toujours plus médiatisées, depuis plusieurs semaines, les agressions se multiplient, entrainant à la fois l’inquiétude des usagers et la colère des personnels.

Ces agressions, ces incivilités, ces destructions ne sont ni contrées ni prévenues par le déploiement des mesures sécuritaires de M.Montillot, Grouard et Lemaignen. (UMP)

C’est donc que la politique menée n’est pas la bonne.

Les élus d’opposition du groupe « Socialistes, Verts et apparentés »:

–          apportent leur soutien le plus total aux personnels du réseau de transports orléanais, qui ont dû utiliser encore une fois leur droit de retrait pour espérer sensibiliser enfin le Président de l’Agglomération, resté sourd depuis des mois ;

–          souhaitent que les habitants d’Orléans et de son agglomération puissent être transportés de la manière la plus sûre ;

–          demandent au Président de l’Agglomération de prendre toute la mesure des difficultés que rencontrent les personnels et les usagers ;

–          demandent que l’ensemble des moyens de prévention et de sécurité soient remis à plat, dans le seul objectif de sécuriser les transports et non pas dans le but de promouvoir un discours politique aussi sécuritaire qu’inefficace.

Baptiste Chapuis et Ghislaine Kounowski,

Pour le groupe d’opposition municipale « Socialistes, Verts et apparentés »

Sur ce sujet:

Article dans LibéOrléans (24/04)

MAJ (19H)

J’ai rencontré les conducteurs et vérificateurs du dépôt de La Source avec Micheline Prahecq et les représentants de la Section PS de La Source. Ils exercent leur droit de retrait avec une grande responsabilité regrettant le manque de considération de leur direction ainsi que de M. Lemaignen.

Nous avons pu leur transmettre notre communiqué ainsi que notre soutien à leur démarche, en attendant la réunion de ce soir avec la direction de la SETAO, ils décideront ensuite de la continuité ou non de l’exercice de leur droit de retrait suite à l’agression d’un conducteur.

Communiqué

Sciences Po à Orléans : un rendez-vous à ne pas manquer

Le groupe des élus socialistes verts et apparentés tient à saluer la volonté commune du Conseil Régional, du Conseil Général et de l’Université de défendre le dossier d’implantation d’une antenne de Sciences Politiques à Orléans.

Cette implantation, présente dans notre programme élaboré pour les dernières élections municipales, s’inscrit dans une volonté nécessaire de développer l’offre universitaire orléanaise en cohérence avec l’offre existante.

Au lendemain des élections municipales, en septembre 2008, nous nous étions réjouis de partager  avec le Président du Conseil Général la même volonté de voir s’implanter une nouvelle antenne universitaire en centre ville. Cette démarche doit s’inscrire dans un plan cohérent de développement universitaire permettant notamment de créer  une structure étudiante en centre ville, avant même la création du « campus » Hôpital Madeleine.

Nous souhaitons qu’Orléans devienne une véritable ville universitaire, accueillante et tournée vers l’avenir.

Nous espérons donc, très sincèrement, que la municipalité d’Orléans soutiendra avec force ce projet universitaire. Nous resterons vigilants quant à son implantation géographique.

Sur le même sujet:

Pour une ville universitaire ambitieuse et innovante

Serge Grouard en plein flou « Artistic »

Orléans: Un projet cohérent pour l’ancien cinéma Artistic

Jeanne d’Arc à la cuisine !!!

On vient d’apprendre le nom de l’invité d’honneur des festivités johanniques orléanaises pour 2010, il s’agit de l’ancien judoka, David DOUILLET. Après avoir fait le déplacement pour vanter la construction de l’Aréna à Orléans, le voilà invité d’Honneur. Ce député UMP est célèbre pour ses performances sportives mais également pour ses « talents » d’écrivain.

« Pour moi, une femme qui se bat au judo ou dans une autre discipline, ce n’est pas quelque chose de naturel, de valorisant. Pour l’équilibre des enfants, je pense que la femme est mieux au foyer. « 

« C’est la mère qui a dans ses gènes, dans son instinct, cette faculté originelle d’élever des enfants. Si Dieu a donné le don de procréation aux femmes, ce n’est pas par hasard « .

« De fait, cette femme-là, quand elle a une activité professionnelle externe, pour des raisons de choix ou de nécessité, elle ne peut plus jouer ce rôle d’accompagnement essentiel. (…) Je considère que ce noyau est déstructuré. Les fondements sur lesquels était bâtie l’humanité, l’éducation en particulier, sont en partie ébranlés « .

« On dit que je suis misogyne. Mais tous les hommes le sont. Sauf les tapettes ! « .

A lire également http://next.liberation.fr/article/les-casseroles-misogynes-et-homophobes-de-david-douillet

http://bibliobs.nouvelobs.com/20091104/15693/david-douillet-naime-pas-les-tapettes

Communiqué

Le monopole à venir de Pathé pour les complexes cinématographiques de l’agglomération orléanaise crée des craintes justifiées.

Craintes quant à la diversité de la programmation. Craintes aussi pour le prix des places puisque le cinéma UGC pratiquait des tarifs très attractifs pour les jeunes qui avaient ainsi un accès plus facile au cinéma, ce qui avait obligé Pathé, concurrence oblige, à appliquer un tarif identique.

De plus, il faut rappeler qu’Orléans ne possède aucune salle labellisée équipée en numérique très haute définition et 3D.

Les Orléanais, désireux de voir le film « Avatar » ou encore « Alice au Pays des merveilles », ont du aller à Blois pour visionner ce film en 3D alors que l’agglomération d’Orléans possède déjà 2 multiplexes Pathé incapables de proposer une projection en 3D.

Devant cette situation, M. Eric Valette, adjoint à la culture, se contente de déclarer dans la République du Centre du 10 avril : « Je suis inquiet » ».

Voilà une déclaration bien tardive et totalement inopérante. C’était il y a 2 ans, il y a 1 an, dans les dernières semaines, qu’il aurait fallu agir. Depuis 2 ans, le sujet est connu, les élus de la majorité municipale ne peuvent donc pas dire qu’ils ne sont pas au courant.

Il aurait fallu que la mairie et son adjoint à la culture se mobilisent pour le pluralisme plutôt que de gémir aujourd’hui de manière inefficace.

On ne demande pas à ceux qui exercent une responsabilité de se lamenter, mais d’agir, et de le faire au bon moment.

De surcroît, dans sa déclaration, M. Valette se défausse sur Pathé : « C’est à Pathé d’organiser les choses, pour faire en sorte que l’offre faite aux habitants soit raisonnable ».

Là encore, cette attitude nous étonne. On aurait envie de dire : « M. l’adjoint, qu’allez-vous faire, quelles initiatives allez-vous prendre pour maintenir des tarifs accessibles et des programmes pluralistes ? »

Cette affaire illustre malheureusement le peu d’ambition que la majorité municipale manifeste dans sa politique culturelle. La diversité de l’offre cinématographique sur Orléans se rétrécit dangereusement. Il ne reste plus que le cinéma « Les Carmes » pour offrir une alternative au circuit commercial cinématographique unique.

Et pourtant, la majorité municipale n’a toujours pas de position claire sur l’avenir du cinéma Les Carmes, entre un adjoint à la culture qui dit soutenir l’équipe de ce cinéma, et un adjoint aux finances qui parle toujours de ses réticences. Face aux contradictions de la majorité, le groupe d’opposition municipale « Socialistes, Verts et apparentés » demande fermement que la Ville d’Orléans précise enfin clairement sa position et qu’elle manifeste un réel soutien au cinéma Les Carmes et à son équipe pour garantir aux orléanais une offre culturelle complète et de qualité.

Que ce soit pour les multiplexes de centre ville ou de l’agglo, pour les cinémas de Place d’Arc ou des Carmes, la majorité municipale doit donner rapidement un signe fort pour garantir au public orléanais une offre cinématographique plurielle et de qualité.

Baptiste CHAPUIS et Ghislaine KOUNOWSKI pour le groupe des élus socialistes verts et apparentés

Venez nombreux !!!

Communiqué de Presse

Battue et expulsée : voici la double peine infligée à Najlae, lycéenne à Olivet, qui a eu le « tort » de porter plainte contre son frère qui la battait. Après avoir quitté son pays, le Maroc, en 2005, pour éviter un mariage forcé, la jeune femme était hébergée chez son frère qui la maltraitait. Mi-février, elle porte plainte contre lui mais c’est elle qui est placée en garde vue et expulsée samedi dernier en Maroc. Pourquoi ? Parce qu’elle est en situation irrégulière.

Les sections d’Orléans du Parti Socialiste tiennent à exprimer leur profonde indignation quant au sort qui a été réservé à Najlae.

Alors que la proposition de loi renforçant la protection des victimes et la prévention et la répression des violences faites aux femmes sera examinée le 25 février à l’Assemblée Nationale, alors qu’une femme meurt tous les deux jours sous les coups d’un proche, on renvoie une jeune femme de 19 ans dans son pays.

Les femmes étrangères subissent une double discrimination : en tant que femmes, elles sont confrontées à des discriminations spécifiques dans leur pays et en France. Le fait d’être étrangère risque désormais de les empêcher de se défendre et de faire reconnaître leurs droits fondamentaux.

Tout en se félicitant que RESF l’ait recueillie au Maroc les socialistes Orléanais demandent d’une part que tout soit mis en œuvre pour que Najlae revienne en France le plus vite possible et y reprennent ses études, d’autre part que sa plainte soit dument enregistrée et qu’il soit fait droit à sa demande.

Communiqué des socialistes d’Orléans

Méthodes scandaleuses de l’UMP : Entre Mensonges et Anonymat

Les socialistes d’Orléans tiennent à condamner fermement le tract anonyme diffusé dans le cadre de la campagne des élections régionales.
Ce document sans logo d’aucun parti, au contenu mensonger, renvoie pourtant vers un site internet affilié au groupe UMP du Conseil Régional.

Il s’agit d’une pratique indigne d’un parti républicain. N’assument-t-ils pas leurs mensonges ?

Personne aujourd’hui ne peut contester le travail du Conseil Régional pour le soutien de l’emploi en milieu associatif alors même que les élus UMP n’ont à l’époque pas soutenu cette mesure. Il en va de même pour la mise à disposition d’ordinateurs pour les étudiants.
Concernant la fiscalité, encore un mensonge, il ne s’agit que d’une augmentation de 3 euros en 2005 soit, sur 6 ans ,18 euros par foyer.
Les Orléanais n’ont qu’à lire leur feuille d’imposition pour se rendre compte que ce n’est pas la gauche qui les augmente mais bien M. Lemaignen à l’Agglomération, également numéro 2 sur la liste de M. Novelli.

Le PS d’Orléans appelle M. Novelli, tête de liste régionale pour l’UMP, à condamner ces pratiques scandaleuses et à faire, si son autorité le permet, arrêter la diffusion de ce document honteux qui n’honore pas sa campagne.

Monsieur le Maire,

Le code électoral prévoit que les bureaux de vote sont ouverts de 8h à 18h.

Pourtant, l’information donnée par les médias que « le vote est ouvert jusqu’à 19h ou 20h dans les grandes villes » amènent nombre de nos concitoyens à venir voter au-delà de 18h, pensant sincèrement qu’Orléans fait partie de ces « grandes villes » citées par les médias. Tous ceux d’entre nous qui président ou ont présidé un bureau de vote ont pu faire ce constat. Ce sont ainsi, à chaque scrutin, des dizaines d’orléanais qui trouvent porte-close alors qu’ils venaient accomplir leur devoir civique.

(…)

Les orléanais ne comprendraient pas que ce qui est possible à Tours ne le soit pas dans la capitale régionale. C’est pourquoi je vous demande de bien vouloir solliciter Monsieur le Préfet du Loiret afin qu’il prenne la même mesure.

(…)

Baptiste CHAPUIS

Communiqué de presse

Serge Grouard en plein flou  « Artistic »

Après l’abandon en rase campagne du projet de la Motte Sanguin par M. Carré, après l’inachèvement de la gare que la majorité municipale semble incapable de surmonter, après le trou des Halles qu’elle n’arrive pas à combler, c’est au tour du bâtiment qui abritait auparavant l’ancien cinéma Artistic de supporter le poids de l’impuissance municipale. Face au manque d’ambition dont fait preuve M. Grouard à l’égard d’un lieu emblématique et central pour la vie orléanaise, le groupe des élus socialistes verts et apparentés exprime son incompréhension devant un déficit criant de projets et de volontarisme.

Selon le maire d’Orléans, en effet, alors que l’édifice est laissé à l’abandon et squatté, la ville ne peut rien faire !

Toujours selon M. Grouard, pour valoriser cet espace et lui donner un sens ambitieux pour notre cité, seule une société privée pourrait intervenir ! Pour la ville, cela coûterait trop cher… Vraiment ? Plus cher que la construction de l’Aréna ou la destruction de la trémie Jaurès ?

Ne s’agit-il pas pourtant d’un lieu porteur d’une forte et belle histoire avec plusieurs générations d’Orléanais ? N’est-on pas, avec l’Artistic, au cœur vivant de notre ville ?

N’est-il pas dès lors urgent de « faire quelque chose » et de donner à cet endroit la vocation d’intérêt public qui semble lui correspondre le mieux ? Mais tout cela suppose des efforts, une vision de notre ville. Tout cela suppose surtout que la majorité municipale se départisse enfin de son fatalisme libéral habituel.

Il y a deux ans, la liste « Orléans Gagnant Pour Tous », souhaitait déjà, dans son programme, une utilisation publique de ce lieu emblématique. Dernièrement, le président du Conseil Général avait pour sa part indiqué soutenir l’implantation d’une antenne universitaire.

Les propositions d’actions ne manquent donc pas. Seule la volonté d’action semble aujourd’hui faire défaut. Nous ne pouvons abandonner cet espace identifié de centre ville sans penser le développement urbain dans son ensemble. Car il s’agit d’une partie du patrimoine de notre cité.

En ce début d’année, nous souhaitons que la majorité municipale se saisisse de cette opportunité pour repenser notre centre ville en diversifiant ses fonctionnalités. Sinon, Orléans court le risque de devenir la ville du sous-développement durable.

Muriel Chéradame (adjointe au Maire d’Orléans) a-t-elle déjà utilisé un disque de stationnement ?

On peut en douter en lisant la Rep’ du 04/01, où l’on peut la voir mettre le nouveau disque de stationnement à l’extérieur d’une voiture…

A moins qu’elle ne prépare une réorientation professionnelle, en devenant une spécialiste de la distribution des PV …


Je tiens par ce petit message à vous souhaiter tous mes vœux de santé, de bonheur  (petits et grands) et de réussite pour vous et vos proches.

La période n’est pas forcément aux réjouissances autant localement que nationalement, les inquiétudes sont nombreuses. Les préoccupations sont d’ordres économiques, sociales mais aussi environnementales. L’ après crise financière avec son lot de fermetures d’entreprises, avec ses répercussions sociales et l’échec du sommet de Copenhague sur le changement climatique ne permettent pas de se réjouir. Nous devons pourtant porter un espoir, l’espoir d’une transformation sociale de notre société.

Nous devons pour cela construire une  gauche inventive, ouverte, et efficace. Une gauche de rassemblement où tous les talents trouveront leur place,  dans une dynamique collective de construction d’une alternative crédible.

A Orléans, le projet de grand équipement sportif, l’alignement de la rue des Carmes, l’écoquartier des Groues la rénovation urbaine, la gestion de l’eau, le traitement des déchets,  sont autant de dossiers que nous auront  à cœur de suivre en portant fièrement notre analyse et nos propositions, car Orléans doit enfin devenir gagnant pour TOUS.

Pour terminer ces quelques mots, encore une fois, je tiens à vous souhaiter très sincèrement une belle année 2010.

Vivre et Construire ensemble… Triste réalité…

Formulaire d’inscription à remplir  puis à déposer en mairie

1. Où et quand dois-je m’inscrire sur les listes électorales ?

Vous pouvez déposer votre demande d’inscription en mairie à tout moment de l’année.

2. A partir de quand puis-je voter lorsque je me suis inscrit sur les listes électorales ?

Tout dépend de la date à laquelle vous avez déposé votre demande d’inscription en mairie.

Si vous faites votre demande d’inscription avant le 30 décembre 2006, dernier jour ouvrable du mois de décembre, vous pourrez voter à compter du 1er mars 2007.

Si vous déposez votre demande après le 30 décembre, elle sera prise en compte dans le cadre de la prochaine révision des listes électorales, et vous ne pourrez voter dans votre nouvelle commune d’inscription qu’à compter du 1er mars 2008. Vous conservez donc la possibilité de voter en 2007 dans votre ancienne commune d’inscription.

3. Comment sont actualisées les listes électorales ?

A chaque bureau de vote correspond une liste électorale. Toutes les listes électorales font l’objet d’une révision annuelle au cours d’une période qui débute le 1er septembre et s’achève le dernier jour du mois de février. Cette révision est prise en charge par une commission administrative qui examine toutes les rectifications à apporter. A compter du 10 janvier, les services municipaux affichent en mairie, pendant 10 jours, un tableau rectificatif des listes électorales qui peut être contesté au cours de cette période par les électeurs.

4. Quelles sont les conditions à remplir pour pouvoir s’inscrire sur une liste électorale ?

Il est nécessaire :

d’avoir la qualité d’électeur : être majeur, de nationalité française et jouir de ses droits civils et politiques
et de justifier d’une attache avec la commune où l’on souhaite s’inscrire c’est à dire soit y être domicilié, soit y résider depuis six mois au moins de façon continue et effective, soit y payer depuis cinq ans au moins la taxe foncière, la taxe d’habitation ou la taxe professionnelle.

5. Faut-il se réinscrire chaque année sur les listes électorales ?

Non. Le grand principe qui régit les listes électorales en France est celui de la permanence des listes. Vous ne devez vous réinscrire qu’en cas de déménagement, même à l’intérieur d’une même commune, ou si vous avez été radié.

6. Dois-je me faire radier des listes électorales de la commune que je quitte ?

Non. La nouvelle commune où vous vous inscrivez prend en charge les démarches de radiation auprès de votre ancienne commune à l’aide de l’avis qui est établi lors du dépôt de la demande d’inscription et que vous signez. C’est cet avis qui vous évite de vous occuper personnellement de la radiation auprès de votre ancienne commune d’inscription.

7. Dois-je me réinscrire sur les listes électorales si je déménage dans la même commune ?

Oui, car il s’agit tout de même d’un changement d’adresse et donc d’un changement de domicile. Particulièrement dans les communes importantes, votre changement de domicile peut signifier que vous changez de bureau de vote d’affectation et donc de liste électorale. Si vous négligez la démarche de nouvelle inscription, les courriers qui vous seront alors adressés dans le cadre des opérations électorales vous seront envoyés à votre ancienne adresse. Or la Poste ne les fait pas suivre et les retourne à la mairie. En l’absence d’indication de votre part, la mairie considérera que vous n’êtes plus domicilié dans la commune et pourra demander votre radiation des listes.

8.  L’inscription sur les listes électorales de sa commune est-elle une obligation ?

Oui, l’inscription sur les listes électorales est obligatoire mais la seule sanction consécutive au fait de ne pas être inscrit est celle de ne pas pouvoir voter. Le vote n’est pas obligatoire en France contrairement à d’autres pays. Il repose sur la volonté de chaque citoyen.

9. Combien y a-t-il de listes électorales ?

Il y a une liste électorale par bureau de vote, soit environ 64 000 listes. De plus, une liste générale des électeurs est établie par commune.

10. Les listes électorales sont-elles communicables ?

Oui. Le code électoral prévoit que tout électeur, tout candidat ou tout groupement politique peut obtenir communication et copie de la liste électorale à condition de s’engager à ne pas en faire un usage purement commercial.

(Source Ministère de l’Intérieur)

Voter n’est pas obligatoire, mais c’est indispensable

(27/03/2010 et non le 20/03/2010)

Une manifestation de plus diront certains, d’autres évoqueront le choix des urnes, d’autres encore la mousse médiatique… Cet évènement ne changera peut-être rien, mais j’y serais ! J’ai envie de croire à une prise de conscience citoyenne et collective…

1. Un sport de campagne UMP pour les élections régionales de 2010 à la sauce américaine

2. Les jeunes de l’UMP, au dessus des lois, font sautés leurs PV

3. Un élu UMP aux idées racistes en amont du débat sur l’identité nationale

Et localement, le Nouveau Centre s’ocupe du problème d’alcoolisme des jeunes…

Face à ça, le réveil du PS..., avec un Ciné-Débat à Orléans le 10/12 au cinéma des Carmes.

Communiqué de presse:

Après la décision du tribunal correctionnel d’Orléans, qui considère que l’agression d’un jeune homosexuel orléanais, sur un lieu de rencontre homosexuelle, ne revêtait pas de caractère homophobe, les élus socialistes, verts et apparentés d’Orléans tiennent à dire leur soutien à la victime et à l’association “Groupe Action Gay et Lesbien Loiret” qui l’accompagne depuis l’agression, et appellent tous les orléanais à les soutenir.

Ils s’étonnent de cette décision alors que le tribunal jugeant le mineur co-responsable de cette agression, l’a condamné, il y a quelques mois, en qualifiant cette même agression d’homophobe.

Ils regrettent que la loi ne protège pas suffisamment la victime, et comprennent l’inquiétude des associations qui luttent contre l’homophobie.

Ils demandent au législateur de mieux définir les critères qui permettent de qualifier les actes homophobes, racistes ou sexistes.

Baptiste CHAPUIS, pour le groupe des élus socialistes verts et apparentés

Jeudi 10 décembre à 20h au Cinéma des Carmes


La projection du film « Walter, Retour en Résistance » sera suivie d’un débat avec

Gilles Perret – réalisateur du film
Benoît Hamon – Porte parole du Parti Socialiste
Pierre Khalfa –  membre du Conseil scientifique d’ATTAC France

A travers l’histoire de Walter, ancien résistant, ancien déporté haut-savoyard et sur fond de politique actuelle, deux questions se posent tout au long du film :
- « Qu’avons-nous fait des idéaux du Conseil National de la Résistance ? »
- « Résister se conjugue-t-il au présent ? »

Voir la bande-annonce.

Résumé du film :

Le nom de  « Walter » et le mot « résistance », Gilles Perret les a toujours associés. Avant même de savoir ce que cela signifiait, Gilles savait que son voisin Walter avait été déporté dans un camp de concentration du nom de Dachau …

Aujourd’hui Walter Bassan a 82 ans. Il vit avec sa femme en Haute-savoie, et mène une vie pour le moins active. D’écoles en manifestations, de discours engagés en témoignages de la guerre, Walter continue son long combat, fait de petites batailles,  contre toutes les formes de démagogies, d’injustices et d’oppressions. De même que lorsqu’il avait 18 ans, et qu’il « jouait » comme il dit, à distribuer des tracts anti-fascistes dans les rues commerçantes d’Annecy alors occupée, Walter agit en écoutant son cœur. « Je n’ai pas changé », comme il se plait à rappeler.

Partageant ces mêmes « raisons du cœur », Gilles Perret réalise ici un portrait vivant de cet homme calme et insurgé. Nous sommes invités à les suivre en passant du Plateau des Glières à Dachau, à faire des retours en arrière pour mieux comprendre l’Histoire, à partager leurs inquiétudes face à un monde où l’inégalité et l’injustice gagnent sans cesse du terrain, à poser les questions qui fâchent…

Sans prétention, et avec la même simplicité et constance que Walter, ce documentaire révèle l’actualité, l’importance, et la nécessité, d’une résistance au quotidien.

Les réactions positives et négatives lors de la sortie du film

 

PAF : 6 euros (Gratuit pour les adhérents socialistes d’Orléans ayant réservé…)

Cette  soirée ciné-débat est co-organisée par ATTAC 45 par le PS d’Orléans

 

Faites circuler l’information et Venez nombreux…

Ci-dessous mes réponses aux questions du Blog « Un grand club de foot à Orléans »

Dans son dernier classement des villes les plus sportives de France, le journal l’Equipe a placé Orléans à une très modeste 32ème place. La réussite de l’Entente au basket ne masque-t-elle pas la faiblesse des sports collectifs orléanais ?

Baptiste Chapuis : Il ne faut pas opposer les sports entre eux. Rien n’empêche le développement d’un club de Foot et d’un club de Basket dans une ville comme Orléans. Le classement du journal l’Equipe est un révélateur du manque d’ambition d’Orléans vis-à-vis des autres sports (collectifs ou non).

Que vous inspire la première place actuelle de l’US Orléans en Championnat de France Amateur et ses fortes chances de monter en National ?

B.C. : De la fierté. Ce club a un gros potentiel. La motivation de ses bénévoles, de ses joueurs, de son staff sont les atouts de ce groupe. Un des atouts est également le gros travail effectué en direction des équipes de jeunes, un travail récemment reconnu. L’équipe doit néanmoins conforter ces bons résultats et tenir toute la saison sur ce rythme.

Avec un stade ne comportant désormais plus qu’une tribune de 1800 places assises, et des jeunes contraints de jouer hors de l’AgglO, ne pensez-vous pas que le club risque d’être confronté à de sérieux problèmes d’infrastructures en cas de progression de l’équipe première ?

B.C. : Je regrette que la majorité municipale ne permette pas le développement de ce club. Les résultats sportifs sont au rendez-vous, la municipalité doit remplir son rôle.

On a assisté ces derniers mois à l’arrivée de gros investisseurs à la tête du club, pensez-vous qu’il y ait la place pour un club de football de très haut niveau à Orléans ?

B.C. : Je pense que le Foot à Orléans a eu une histoire, et qu’il faut maintenant écrire son avenir ! Les financeurs privés, la direction du club, les joueurs et la municipalité doivent construire ensemble un projet cohérent et ambitieux. La mobilisation de tous ces acteurs est indispensable.


Je vous invite à Signer la pétition et à rejoindre le groupe Facebook

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