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« Sommes-nous aujourd’hui, dans la réponse que nous apportons à la crise, à la hauteur de la crise ? Ma réponse est claire, c’est non. »  Dominique De Villepin

Interrogé au micro Europe 1 sur l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy, samedi 7 février, l’ex-premier ministre a une nouvelle fois chargé son meilleur ennemi, le président de la République. « Je crains que nous ne restions à une vision de la crise un peu courte« , une crise « sans précédent, d’une profondeur inouïe, qui va tout changer, en particulier la hiérarchie des États dans la nouvelle donne internationale« , a dit M. de Villepin, selon qui « nous avons changé de monde« .

De Villepin a rappelé que la présidentielle de 2007 s’était faite sur « la rupture »: « il s’agissait de rompre avec un certain modèle social français pour mettre en place un modèle – anglo-saxon – qui semblait avoir réussi », et « qui se trouve avoir complètement échoué dans la crise« . « La rupture, elle est à inventer dans la crise. »

En Ile de France, tout d’abord avec la guerre entre deux ministres UMP en campagne pour la tête de liste aux prochaines élections régionales (après le désistement d’Yves Jego trop occupé en Martinique et en Guadeloupe. )

D’un côté, Roger Karoutchi patron du groupe UMP au Conseil Régional et Secrétaire d’État en charge des relations avec le Parlement, de l’autre Valérie Pecresse Conseillère Régionale à l’absentéisme reconnu, sinistre ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.  Pécresse part en tête dans les sondages mais Karoutchi avec le sens du timing de son coming out et son expérience, la suit à la trace. Pecresse s’empêtre dans la réforme des universités et s’oppose vivement à l’ensemble de la communauté des enseignants chercheurs mais joue la mère de famille jeune et dynamique. Les conflits font rages entre les partisans de chacun, la primaire à l’UMP semble mal partie. Pas facile de s’essayer à la démocratie interne !  😉

Ensuite, en région Centre, même conflit. Novelli (Secrétaire d’État du Commerce et Artisanat) contre Lepeltier (maire de Bourges, ancien ministre de l’environnement).  Certes, le conflit entre ces deux candidats UMP est pour le moment moins médiatisé, et pourtant il est bien plus virulent.

Entre attaques politiques et coup bas, la campagne va bon train. Les attaques personnelles sont légions. LibéOrléans nous permet grâce à sa vidéo d’écouter Lepeltier  asséner des attaques de « détournements des fonctions ministérielles » au profit de la campagne régionale. Heureux de voir qu’à droite aussi on s’inquiète des déplacements très nombreux du ministre dans notre région.  Lepeltier dénonce également des pressions sur les élus locaux pouvant parrainés sa candidature…

Il faut préciser que Novelli est le chef de file des 80 députés  considérés comme ultra-libéraux. Il commença par militer à l’extrême droite : Fédération des étudiants nationalistes (1962-1964), Occident (1964-1968), puis Ordre nouveau (1969-1973), le Front national (1973-1974) et enfin le Parti des forces nouvelles (1974-1981). Avec d’autres cadres du PFN, il rejoint le Centre national des indépendants et paysans au début des années 1980, puis l’UDF. (Source Wikipédia).

Serge Grouard et la majorité des élus du département soutiennent Hervé Novelli dans la campagne interne de l’UMP…

Non à la privatisation des crèches d’Orléans !

Après avoir rencontré les parents des enfants de la crèche Pasteur, les élus du groupe « Socialistes, Verts et apparentés », sensibles à leur colère, expriment leur opposition ferme à la privatisation des crèches d’Orléans.
La majorité UMP-MoDem-MPF s’était bien cachée d’afficher cette privatisation lors des nombreuses opérations de communication quelques mois avant les élections municipales.
Un service municipal de la petite enfance doit être public pour faire face aux besoins d’accueil et d’éveil des enfants, en assurant l’égal accès de tous.
Seul le service public garantit un service de qualité avec du personnel qualifié.
Cette opération purement idéologique de privatisation a plus pour objectif d’enrichir une société privée que d’améliorer réellement le service apporté aux familles : cela coûtera plus cher aux orléanais sans pour autant répondre aux besoins criants de places de crèche !

Très critique durant la campagne municipale, Charles-Éric Lemaignen est devenu bien discret sur la situation du carrefour de Verdun (dit carrefour « Auchan »). Conscient que des améliorations sont nécessaires, pour permettre une meilleure cohabitation de la circulation du Tram et de l’automobile, l’opposition souhaite faire le bilan des 8 ans de Charles-Éric Lemaignen à la tête de l’AgglO sur cette question.

Après quelques bricolages pré-électoraux, et 8 ans de critiques intempestives, le bilan est maigre. De nombreuses déclarations sur ce dossier mais peu de réalisations. Et aucun changement de la situation.

Après avoir utilisé l’argument de ce carrefour dans les 2 précédentes élections, les orléanais ne se laisseront pas faire une troisième fois : Charles- Éric Lemaignen ne doit pas attendre encore 5 ans pour régler ce problème !

Les orléanais attendent une action forte pour améliorer ce carrefour et faciliter la cohabitation du tramway et de la circulation, tout particulièrement aux heures de pointes. L’opposition sera vigilante sur ce sujet

Baptiste CHAPUIS, pour le Groupe d’opposition « Socialistes, Verts et apparentés »

Le groupe de l’opposition tient à répondre aux allégations de Serge Grouard dans son interview publiée dans la République du Centre du 04/02/09.

La représentativité démocratique se mesure à l’aune de l’ouverture pratiquée dans les instances de concertation. A Orléans, aucun doute n’est permis : le collège des personnes ressources au sein des Comités de Mobilisation et d’Animation des quartiers est composé à 96% de proches de la majorité UMP-Modem-MPF (78 sur 81 !).

96% ! Un score remarquable ! Une très belle performance, digne des régimes les plus démocratiques !

L’opposition tient également à rassurer le maire d’Orléans sur les rapports entre le PS et le PC qui semblent tant l’inquiéter. Le travail entre les deux groupes de l’opposition se fait en bonne intelligence dans le respect de chacun, dans un esprit constructif et ce dans l’intérêt de tous les orléanais.

L’organisation de l’opposition peut-elle réellement justifier les atermoiements de la charte de la participation citoyenne ? Ne serait ce pas un prétexte pour masquer une réalité bien plus cynique ?

L’opposition a, elle, joué le jeu de la concertation en proposant plus de 50 personnes ressources dans l’ensemble des quartiers et ce dans des conditions de délais très courts. L’opposition précise néanmoins qu’elle n’a jamais proposé comme personne ressource Christophe Desportes-Guilloux qui est le collaborateur du groupe.

De plus, contrairement à la majorité, elle a souhaité écarter toutes les personnes ayant des responsabilités professionnelles à la mairie. Il faut rappeler que dans la première liste présentée par la majorité un certain nombre de directeurs de services de la ville étaient désignés.

Enfin, les personnes proposées par l’opposition l’ont été sur la base de leur engagement et de leur implication dans leur quartier, sans considération de leur sensibilité politique. On ne peut en dire autant de celles qui ont été retenues par la majorité UMP-Modem-MPF. La politique c’est faire des choix. Le maire UMP a décidé de claquer la porte à de très nombreuses associations et forces vives des différents quartiers d’Orléans.

La municipalité UMP-Modem-MPF a fait le choix de politiser les CMA en y intégrant des représentants politiques : un représentant des jeunes du Nouveau Centre (La Source), un représentant de l’UNI (St Marceau), les membres du comité de soutien de Michel Languerre (candidat UMP aux élections cantonales à La Source), de nombreux anciens membres des CCQ dévoués à la majorité, des membres de la famille des adjoints de la ville (St Marceau), des anciens candidats UMP ou Modem aux cantonales (Argonne, Acacias), des soutiens notoires de la politique municipale (Bourgogne-République, Carmes), etc.

Votée en décembre 2008 par une majorité qui ne l’avait pas lue, bafouée en janvier 2009 par une majorité qui ne veut pas la mettre en œuvre, la charte n’a plus d’utilité et de crédibilité aujourd’hui. La mascarade est finie. Les masques sont tombés.

Baptiste Chapuis et Corinne Leveleux-Teixeira pour le Groupe « Socialistes, Verts et apparentés »

Question Orale présentée en Conseil Municipal du 30/01/09 par Baptiste Chapuis

M. le Maire, en Juin 2008, madame Nadine MORANO, Secrétaire d’Etat à la Famille, s’est déclarée plutôt favorable à la proposition avancée par monsieur Bertrand Delanoë, Maire de Paris, souhaitant que le P.A.C.S. puisse être célébré en Mairie, en lieu et place du Tribunal.

Nous savons qu’en l’état actuel de la loi ceci est impossible et nous émettons le vœu que le législateur progresse dans ce domaine.

Néanmoins, les maires peuvent accompagner un PACS en organisant, à titre convivial et symbolique, pour celles et ceux de leurs administrées qui le leur demanderaient, des cérémonies républicaines de PaCS dans les maisons communes dont ils sont responsables (confirmant ainsi les valeurs d’accueil et de solidarité de ces lieux)

De nombreuses villes ont mis en place des cérémonies de confirmation de PACS en mairie, c’est le cas à Toulouse, Grenoble, Paris, et même à Nice chez M. Estrosi. Plus près de nous, c’est le cas à Beaugency, Chanteau ou encore St Jean de la Ruelle. De plus, de très nombreuses villes de gauche nouvellement élu ont en projet ces célébrations de PACS.

L’ouverture de cette possibilité à Orléans serait un acte symbolique fort, une affirmation de l’égalité républicaine partagée par tous. Cette célébration se déroulant dans des conditions proches de celles des mariages permettrait de remettre, en salle des mariages, par vous ou tout élu délégué, un document aux partenaires PACSE-E-S.

Je connais votre souci d’égalité républicaine et j’espère que vous pourrez répondre favorablement à ma requête intéressant nombre de couples gays et lesbiens et hétérosexuels d’Orléans.

Par cette démarche la ville d’Orléans avancerait sur le chemin de l’égalité des droits et de la lutte contre les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle.

Blog en grève

Manifestation Orléans29 Janvier

10h30 Parvis de la Cathédrale

Le groupe de l’opposition « Socialistes, Verts et Apparentés » s’interroge sur l’avenir de l’ancien cinéma « Artistic ». Son état s’aggrave peu à peu. Il est fortement souhaité une réhabilitation totale du site en cohérence avec le bâti existant. Cet espace est un lieu incontournable du centre ville d’Orléans.


La mairie doit pouvoir s’entendre avec le Conseil Général pour implanter un pôle étudiant. Le combat des ego entre le maire et le président du Conseil Général doit cesser sur ce sujet. Si l’on souhaite accueillir des étudiants, et que cette volonté ne reste pas un vœu pieux, cette possibilité ne doit pas être abandonnée trop vite.


Le choix repris récemment par E.Doligé d’implanter une grande Ecole, a été un des axes de notre campagne électorale. C’est un choix d’avenir et ambitieux, un choix que nous appelons de nos vœux et que nous soutiendrons avec force.


La majorité municipale doit faire preuve de volonté politique pour ne pas abandonner, comme à son habitude, cet espace à des promoteurs privés mais s’en saisir comme un véritable outil d’une politique urbaine cohérente en Centre Ville.


Baptiste CHAPUIS pour le Groupe d’opposition « Socialistes, Verts et Apparentés »

Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.

Il aura fallu 25 jours de conflit et 2000 tonnes de déchets amassés dans nos rues pour qu’un accord vienne enfin mettre un terme au conflit opposant M. Lemaignen et les éboueurs grévistes. Dès le début de la grève, le président de l’AgglO avait fait le pari du pourrissement de la situation, escomptant que l’essoufflement du mouvement lui permettrait de négocier une sortie de crise favorable à ses intérêts. Cette attitude obstinée de refus du dialogue s’est avérée socialement arrogante, stratégiquement inefficace et politiquement dangereuse, puisqu’elle a failli aboutir au blocage total de l’ensemble des dépôts privés et publics.

La raison l’a finalement emporté, et l’opposition municipale d’Orléans (Socialistes, Verts et apparentés) se réjouit qu’une issue ait été trouvée à un conflit qui n’aurait jamais dû s’éterniser. Elle n’en dresse pas moins un bilan très sévère pour le président de l’AgglO. Dans cette affaire, celui-ci mérite en effet un zéro pointé. Sur la forme, dans la plus pure tradition réactionnaire, il a tour à tour usé du discours du mépris et tenté de faire passer les collecteurs de déchets pour des nantis. Sa communication publique a souvent sombré dans la caricature. Ainsi, justifier l’augmentation de sa propre indemnité par le fait qu’il travaillerait « deux fois plus » et prendrait « deux fois moins de vacances » que les éboueurs constituait à la fois une remarque déplacée et une faute politique. En règle générale, les comparaisons sont souvent difficiles. En la matière et dans ces circonstances, elles étaient franchement indécentes.

Sur le fond, par son report de la négociation avec les grévistes à la réunion de la commission des communes, M. Lemaignen s’est spontanément dessaisi de ses compétences, laissant dans l’intervalle aux maires des villes concernées le soin de gérer le problème des déchets comme ils le pouvaient. Ce dessaisissement de compétence s’est ainsi opéré au détriment de l’intérêt communautaire. En cette circonstance de crise, le président de l’AgglO s’est comporté comme un chef de service mandaté par des élus, non comme un responsable politique lui-même élu, chargé d’assumer ses fonctions en vue de l’utilité publique.

L’étirement du conflit a également révélé une inquiétante violence sociale dans le traitement des relations de travail au sein de l’AgglO. Prétendre régler les relations sociales en termes de rapports de force, ce n’est pas seulement exhiber le vrai visage d’une droite locale dure et réactionnaire. C’est aussi faire peu de cas des légitimes aspirations de nos concitoyens, confrontés à une conjoncture économique très difficile. C’est enfin oublier que le droit de grève a, en France, une valeur constitutionnelle, ce que les élus orléanais du groupe socialistes, verts et apparentés entendent ici fermement rappeler.

Enfin, l’opposition municipale d’Orléans souligne la concordance de dates entre le traitement calamiteux de cette grève, d’une part, et l’annonce de l’instauration d’une fiscalité additionnelle sur les ménages, d’autre part. Constatant que cette fiscalité additionnelle est destinée à assurer le financement des projets de l’AgglO, l’opposition municipale demande que ce surcoût supporté par les habitants de l’agglomération s’accompagne, pour M. Lemaignen, d’un surcroît de rigueur et d’une plus grande compétence dans la mise en œuvre de ces mêmes projets.

Le groupe « Socialistes, Verts et apparentés » d’Orléans

Pour 2009, une RdB n°9

RDV : Vendredi  26/01 23/01

Lieu: Bec à Vin , rue de Bourgogne

dès 20h30

Thème: ??

Inscriptions obligatoires pour des raisons de places et d’organisation

(en commentaire)

L’école a besoin de réformes. Les réformes sont nécessaires pour permettre une évolution du service public éducatif, son adaptation aux évolutions de notre société, pour prendre en compte la spécificité des élèves et de leurs milieux. Ces réformes ne peuvent se faire sans les acteurs de ce domaine, l’ensemble de la communauté éducative. Ce n’est pas le cas aujourd’hui.

La méthode Sarkozy: Il prétend mener des réformes, ouvre le débat en se disant prêt à accueillir toutes les bonnes idées, puis le referme brusquement en imposant des décisions le plus souvent conservatrices. En agissant ainsi, il contribue à détruire l’idée même de la réforme. Cette méthode il l’applique à de très nombreux sujets (audiovisuel, santé, institutions…)

Comme l’écrit François Dubet à propos des tentatives de réforme du lycée, leur « rejet ne porte pas d’espoir ». Contre Sarkozy, la responsabilité de la gauche est de rendre l’espoir en sauvant l’idée de réforme, et en opposant aux projets de la droite une réforme de gauche de l’Education nationale. Le Grand Soir n’est pas la solution ! Et ce n’est pas la mission du directeur de Sciences Po qui changera la donne…

Une large coalition d’acteurs du système éducatif a choisi de relever ce défi et vient de publier 9 propositions pour la réforme des lycées. Voir ainsi syndicats enseignants, lycéens et étudiants, associations de parents d’élèves, grandes fédérations d’éducation populaires et mouvements pédagogiques, s’associer et avoir le courage de proposer une réforme progressiste du lycée est à souligner.

La responsabilité des partis politiques de gauche maintenant est de rentrer dans ce débat et de contribuer à la construction d’une alternative crédible à l’entreprise de destruction sarkozyste. Il ne suffit pas de combattre les projets de la droite et dénoncer les réductions de postes pour entraîner l’adhésion de la population.

Nous devons nous engager, aux cotés des acteurs de la communauté éducative, sur le chemin de la réforme de l’école de la République.  Je serais donc à leurs côtésé le 29 janvier à Orléans.

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9 propositions pour réformer le lycée

Cette première série de 9 propositions concerne les différents aspects des missions, de l’organisation, du fonctionnement et des contenus enseignés au lycée. Toutes ces propositions sont liées entre elles. Leur liste n’est pas exhaustive. Notre groupe s’engage à continuer de travailler à d’autres propositions dans le cadre des chantiers que nous avons listés précédemment. Une réforme est vouée à l’échec si elle se cantonne à quelques mesures homéopathiques qui ne produisent pas l’effet de levier escompté.

  1. L’organisation du lycée est modulaire : modules communs et modules d’exploration en seconde ; modules communs et modules de spécialisation progressive en cycle terminal.
  2. Les voies générale et technologique sont fusionnées.
  3. Les modalités de la certification terminale (baccalauréat tiennent compte de cette nouvelle organisation: les modules sont capitalisés après validation en cours de formation. En plus de cette capitalisation, le baccalauréat fait l’objet d’un nombre réduit d’épreuves terminales et d’une épreuve intégrée représentative du parcours de l’élève.
  4. Les modules sont définis par des connaissances et des compétences à acquérir. Le mode d’évaluation est précisé à l’avance. Les modules peuvent être pluri-disciplinaires ,  inter-disciplinaires ou disciplinaires,  ; un ou plusieurs modules sont élaborés  par les équipes.
  5. Un temps d’accompagnement doit être prévu de façon spécifique dans les emplois du temps, encadré par des professeurs référents, avec deux objectifs distincts à moduler tout au long de l’année scolaire : un travail d’élaboration du parcours personnel et le suivi des apprentissages réalisés, dans le cadre de petits groupes d’élèves.
  6. L’accompagnement des élèves, le travail en équipe et la participation au pilotage de l’établissement font partie des missions des enseignants et sont intégrés dans leurs services.
  7. L’accompagnement, le travail personnel, la vie associative, les relations entre pairs, entre jeunes et adultes, l’apprentissage  démocratique  sont des dimensions importantes pour la formation et l’insertion du futur citoyen. Leur donner du temps implique de limiter l’horaire de cours des élèves.
  8. Les instances collectives  doivent être redéfinies pour permettre la participation de tous, élèves et adultes.
  9. L’autonomie des établissements va de pair avec leur mise en réseau  sur un  territoire donné dans une logique de complémentarité pour éviter toute concurrence.

Trouvé sur l’excellent blog du 3 décembre

http://polikarpov.over-blog.com/

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Très prochainement, des nouvelles des rencontres avec l’exécutif communautaire.

Aujourd’hui avait lieu un rassemblement devant la mairie à 11h, rejoint par les lycéens.

*Un grand merci aux très nombreux contributeurs de ce concours…*

Réunion publique sur l’avenir de la rue des Carmes

*Jeudi 15 Janvier à 20h30*

Salle des chats ferrés, 3 bis rue des chats ferrés

POUR

  • Pour une rue piétonne.
  • Pour une rénovation du quartier Carmes.
  • Pour un passage du tramway en site propre.
  • Pour une vraie concertation des habitants.
  • Pour la préservation du patrimoine du quartier.
  • Pour sauver les commerces de proximité

CONTRE

  • Contre un alignement inutile et couteux.
  • Contre un projet du tout-voiture. § Contre un projet du tout béton.
  • Contre les démolitions.
  • Contre les embouteillages.
  • Contre les expropriations.

L’avenir du quartier Carmes, vous concerne !

Venez nombreux pour défendre votre quartier.

Réunion organisée par vos élus de l’opposition municipale Groupe Socialistes, Verts et apparentés.

A votre écoute :   Opposition, Place de l’Etape 45000 Orléans 02.38.79.27.32 elus.orleans@laposte.net http://orleansavecvous.wordpress.com

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Communiqué de Presse du Groupe Socialistes, Verts et Apparentés.

Le groupe de l’opposition municipale « Socialistes, Verts et apparentés » tient à vous informer des démissions de Joëlle Beauvallet et de Marc Debarbat du Conseil municipal d’Orléans.

Joëlle Beauvallet a souhaité se consacrer pleinement à son mandat de Conseillère Générale mais également passer le témoin à la nouvelle génération. En effet, Elsa Pelloie, âgée de seulement 24 ans, étudiante en master d’Histoire, intègre le Conseil Municipal. Elle est militante au Parti Socialiste depuis de nombreuses années, elle a été Secrétaire Nationale du MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes). Joëlle Beauvallet a pour volonté, malgré cette démission, de continuer à suivre de nombreux dossiers aux côtés des élus de l’opposition.

Marc Debarbat a été, quant à lui, nouvellement réélu à la tête du district de football, il a souhaité y consacrer plus de temps. C’est donc Michel Ricoud, Conseiller général de La Source, qui intègre le Conseil Municipal.

C’est avec une équipe renouvelée, et toujours vigilante et constructive que le groupe « Socialistes, Verts et apparentés » siègera dorénavant dans l’opposition à Orléans.

France Info a abordé la question de la grève des éboueurs à Orléans. (9/01/09)

Orléans : les éboueurs en grève depuis 12 jours

France Info – 9 janvier 2009

Ils réclament 100 euros de prime mensuelle. Les éboueurs orléanais ont cessé le travail il y a 12 jours. Les ordures s’amoncellent dans la ville et aucune négociation n’est prévue avant une semaine…

Le mouvement, lancé au lendemain de Noël, le 26 décembre, est suivi par 90% des salariés statutaires, ainsi que par une partie du personnel du service d’assainissement, selon la CGT. Les éboueurs en grève bloquent une partie des dépôts, mais n’empêchent pas totalement leurs collègues intérimaires de travailler.

Ainsi, moins de 25% des bennes circulent, et les ordures commencent à s’amonceler dans le centre ville et les rues de six communes de l’agglomération.*

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Pourquoi je vous mets cet article datant maintenant de quelques jours ?

Tout simplement, car il font un lien vers mon concours photo… et sur un article de Circé !

Je tiens tout d’abord à remercier les très nombreux contributeurs de ce concours photos qui prendra fin le jour du début des négociations avec les éboueurs.

D’ici là, continuez à m’envoyer vos photos avec un titre imaginatif !

Il faudrait penser à l’inviter à la prochaine Webschool.

N’est-ce pas Fabien ?

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La poubelle pour aller danser (rue de Bourgogne)

La poubelle pour aller danser (rue de Bourgogne)

Grève des éboueurs : les socialistes d’Orléans

demandent l’ouverture de négociations

Les socialistes d’Orléans dénoncent avec la plus grande fermeté l’obstination du président de l’Agglomération, Charles-Eric Lemaignen, et le mépris dont il fait preuve, comme toujours, dans le conflit qui l’oppose depuis plusieurs jours déjà aux agents chargés du ramassage des ordures ménagères. Les socialistes d’Orléans demandent l’ouverture immédiate de négociations avec les représentants de ces salariés. A l’heure où la température extérieure atteint des niveaux très bas, on mesure la pénibilité du travail de ces agents. Quand on sait qu’en fin de carrière, un éboueur perçoit un maximum de 1 300 euros nets par mois, leur revendication d’une prime mensuelle nette de 100 euros ne paraît pas indécente. Les élus majoritaires de l’agglo ou de la ville d’Orléans n’ont pas eu ce genre d’état d’âme lorsqu’il s’est agi, régulièrement, d’augmenter les frais de réception ou en juillet dernier, de revaloriser considérablement leurs propres indemnités. En net mensuel, celle des vice-présidents est ainsi passée de 935 à 1600 € (+71 %) et celle du président de 2 675 à 3 700 € (+38%).

Indépendamment de l’indécence d’une telle hausse, les choix du président UMP de l’Agglomération montrent une fois de plus combien le travail manuel – et celui d’éboueur en particulier – n’est pas rémunéré à la hauteur de la pénibilité qu’il représente pour ceux qui l’exercent. Plutôt qu’une incompréhensible fin de non-recevoir, les agents de propreté de l’agglomération sont en droit d’attendre, de la part de leur employeur, à l’issue d’urgentes et indispensables négociations, un geste plus que symbolique.

À la Rochelle, Fanny Gamelin a lancé un groupe sur le réseau social Facebook pour sauver l’entreprise familiale, les chantiers navals Gamelin, quelques jours après le suicide de son père. Ultime tentative de sauver une PME de 120 personnes.

« Mon père n’a jamais rien demandé de sa vie, mais quand il a eu besoin des banques, les portes se sont fermées. Son chantier, c’était l’oeuvre de sa vie. Ses derniers mots sont d’ailleurs : ‘Pardonnez-moi de ne pas avoir pu sauver l’entreprise.’ »

En annonçant son initiative, la jeune femme a souligné la responsabilité des banques, les chantiers Gamelin ayant à apurer un passif de 2,3 millions d’euros. Dans la foulée du groupe de soutien, Fanny Gamelin a monté un site dédié « Soutien chantiers Gamelin », avec la possibilité de faire un don.

Réunion à l’Agglo prévu le 16 Janvier. Le service assainissement aurait rejoint la mobilisation des éboueurs de l’AgglO.

M.Lemaingnen refuse toujours de négocier avec ses agents. Les maires socialistes de l’Agglo « sont montés au créneau » (La Rep’ du jour) pour l’ouverture rapide de négociations salariales prenant en compte la pénébilité du travail.

Intervention  lors du Conseil Municipal du 19/12 (résumé)

Selon le document de présentation, le cap est fixé. Je me pose une question, quel cap ?

Si l’on survole le document de présentation, la première impression est que tout va bien, une vraie ville Potemkine du XXIe siècle. Investissement, fonctionnement, autofinancement, grands projets… tout va bien ! Mais derrière les belles accroches et autres effets de communication, l’on peut s’inquiéter pour l’avenir de notre ville, et la bonne utilisation de l’argent de nos concitoyens.

Tout d’abord, avec cette présentation à la limite de la propagande, on découvre la triste réalité des finances de la ville qui se détériore. Et ce malgré Toute l’habilité de M. Martin à la masquer. Ce qui frappe ce sont d’abord les trop nombreuses annonces sans justification financière, ou de déclarations sans concrétisations.

Organisation de service revu en conséquence

Il est envisagé de..

Nombreuses Réalisation d’études

Poursuivra son effort = RIEN DE PLUS

Le fameux plan climat repris a plusieurs reprises

Il ne manque pas non plus un adjectif pour qualifier les actions de la ville, ou pour leur donner plus de saveurs qu’ils n’ont

Significatifs (façade)

Ambitieux

volontariste

Et pourtant on constate une Baisse du budget Culture, du budget jeunesse,

1 million 9 pour la communication, 3 millions 4 pour les fêtes et cérémonies, la crise ne touche pas de la même manière les différentes fonctions du budget.

La ville n’a pas su, par ce budget répondre aux attentes des orléanais, et fait le choix d’ignorer le contexte économique actuel. A Orléans, on ne connait pas la crise. Il ne faut pas compter sur l’Etat ou l’agglo pour soutenir la ville, leur dotation stagne..

Je reprendrais donc les propos de M Lemaignen, hier en session du CR Sur « Enthousiasme des propos face à la réalité froides des chiffres » du budget.

Ensuite, une précision sur les impôts locaux. M. Martin n’a certes pas augmenté les impôts et ce dans la continuité des mandats précédents (96), il est vrai, je m’en félicite. Mais ce n’est pas le cas de Monsieur Carré et Grouard. Je m’explique. La phrase revalorisation nominale par l’Etat  nécessite en effet une explication

Les taux des impôts de la ville n’a certes pas évolué, mais l’évolution nominale a augmenté de + de 50% depuis 2002. Ce taux est fixé par les parlementaires. On ne peut défendre Blanc à Orléans et Noir à Paris sans être mis face à ces incohérences devant les citoyens.Ce fut notamment déjà le cas avec le vote sur la suppression d’aides financières pour la réalisation de la seconde ligne de Tram.

Pour continuer, dans le document de présentation, on compare sur le BP 2008 quand cela arrange, avec le CA parfois et souvent on ne nous donne aucun élément de mise en perspective. L’analyse de ses documents nous a permis d’approfondir nos connaissance des diverses méthodes budgétaires. Le budget s’est faire des choix, nous ne partageons pas les choix qui sont fait, comme mes collègues ont pu le présenter

Timidité des investissements, un recul non négligeable en cette période ou le gouvernement a choisi de relancer l’investissement public pour relancer l’économie (rappeler par F Fillon lors de sa venue). Illisible et pas comparable d’une année sur l’autre car les lignes budgétaires sont mouvantes.

De plus constate une détérioration globale de la situation financière de la ville . Tout ne va pas bien Madame la marquise, le fonctionnement se maintien, l’investissement est en forte baisse -4%, l’autofinancement également et surtout la dette de la ville augmente.

Cette situation fait reposer sur les générations futures, et sur les futurs responsables bientôt à votre place, le poids de vos choix. Je pense que ce n’est qu’un commencement, le temps me donnera malheureusement raison.

Le blog « Place de la République » lance son Grand concours photo

Thème: « Déchets et poubelles à Orléans et dans son AgglO »

Toutes les photos seront publiées, la plus belle se verra remettre un prix exceptionnel…. ( un resto et les honneurs de mon Blog… )

Avec la neige, A vos appareils numériques, à vos téléphones portables, à vos jetables, à vos Polaroïds… (couleurs ou noir et blanc, précisez la rue et la ville)

A envoyer à baptiste.chapuis@gmail.com

Elles seront publiées sur www.placedelarepublique.com

Action en en soutien aux éboueurs en quête de négociations…

Afin d’ouvrir les yeux et les oreilles de Lemaignen sur ce sujet, et surtout permettre une prise en compte de la pénébilité de ce boulot.


La France a peur

Mickey 3D

Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.

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Dechets orleans Lemaignen refuse les négociations ?

Il faut que les éboueurs soient respectés. Les élus communautaires doivent ouvrir au plus vite les négociations et permettre d’entendre la pénébilité du travail des éboueurs.

La réponse se trouve dans une des éditions de la République du Centre de cette semaine.

Un indice:  Grognard