* Pourquoi ne pas envisager la circulation du Tram durant la nuit lors des week end ?
* Pourquoi ne pas développer un réel réseau de pistes cyclables sécurisés et maillés ?
* Pourquoi ne pas envisager l’installation de station vélo + sur la campus pour se déplacer entre UFR, logement, RU?
* Ne pourrait on pas envisager la création de salle de répétition et de concert dans toute la ville et tout particulièrement sur la campus ?
* Ne pourrait on pas créer un système de soutien à des projets culturels pour la ville ?
* Ne pourrait on pas créer une réelle fête de la ville qui ne tombe pas dans le moyen ageux en carton ?
* Ne pourrait on pas envisager que tous les batiments nouvellements créés soient aux normes HQE ?
* Les transports en commun ne pourrait-il pas être moins cher pour les jeunes ? (rétablissement de carte 10 Campus…. 😉 )
Voilà quelques réflexions pour sortir Orléans de sa torpeur culturelle, festive, conviviale… Orléans ne doit plus tourner le dos à ses étudiants et plus généralement à ses jeunes !
Enfin ! me dirons certains, encore ! me dirons d’autres… La célèbre et non moins connus Rébublique des Blogs fait son grand retour à Orléans !
Le 16 septembre, Serge Grouard disait alors » Ceux qui se déclarent maintenant n’ont rien à foutre » » Napoléon disait mûrir très lentement les décisions et les prendre en une fraction de seconde; je mûris ma décision » (Il se prend pour Napoléon…appelez l’asile !!!)
Cette majorité n’a que mépris et arrogance pour les orléanais, et n’accepte plus la critique même constructive. Il ne fait pas bon critiquer un bilan en demi teinte. L’agressivité verbale est révélateur d’un malaise. La posture ne tient plus, au bout de 7 ans les orléanais même abreuver de communication excessive, ouvre les yeux sur la politique mise en place durant ce mandat.
Et oui, Orléans et l’agglo doivent avoir en réserve les fonds nécessaires à moins qu’il ne souhaite vraiment pas mettre en place la deuxième ligne de tram. On se rappelle qu’il avait fait campagne en 2001 sur ce sujet. Il faut également rappeler que 97% des Orléanais en sont content aujourd’hui. On voit là un constat amer, il y a le discours sur le développement durable et le manque cruel d’actes. L’écologie de la communication et du paraitre à défaut de l’écologie du concret et du quotidien. Aucun bâtiment créé en 7 ans ne respecte les normes HQE (hautes qualités environnementales), aucun panneaux solaires installés, aucune réflexion sur la consommation d’énergie… On peut mettre au bilan de l’actuelle majorité un professionnalisme impressionnant dans la création de
Dans un édito au vitriol, le prestigieux quotidien américain dénonce une «nouvelle loi hideuse» et dresse un parallèle avec certaines lois de la France de Vichy.
Ensuite je voudrais passer un coup de gueule suite à l’annonce du divorce du couple présidentielle le jour même d’un mouvement social sans précédent ( on le compare même à 95). Une énième instrumentalisation de l’actualité ? Surprenant en effet de voir ce fait divers justement sortir ce jour là. Avouons le quand même, la rumeur circulait, comme bien d’autres , depuis pas mal de temps déjà sur le net…
Ce qui va donc changer:
« En date du 7 juin 2007 la Direction du groupe GEMALTO 1er fabricant de cartes à puce au monde annonçait la fermeture du site AXALTO d’Orléans avec 362 postes supprimés. Cette restructuration entraine également la suppression de 46 postes sur le site de MEUDON et 76 postes sur celui de GEMENOS. Monsieur Patrick Poivre d’Avord a évoqué cet état de fait lors du JT de 20 heures le jour même. Depuis cette date plus aucunes informations n’ont été relayées par les grands journaux télévisés nationaux. Or depuis maintenant deux semaines les salariés d’AXALTO Orléans manifestent leur mécontentement face aux mesures insuffisantes prises par la Direction concernant : le plan de revitalisation du bassin d’Orléans la ré industrialisation du site. Des mesures sociales et des moyens pour le reclassement des salariés Des mesures financières adaptées à la hauteur des enjeux.
A Orléans bien entendu, mais aussi dans de nombreuses autres villes, on peut s’interroger sur le choix du MODEM. Leur crédo « Ni de droite, ni de gauche mais au Centre » (en région ;-). Mais pour les municipales, il faut faire un choix. Le MODEM après s’être associé à la gauche dans le combat sur l’ADN, sur les isntitutions, et sur les questions de santé… va-t-il faire un choix électoral étonnant, en acceptant de gouverner des villes avec le MPF de DeVilliers ?
Et oui j’ai succombé à la tentation, j’ai acheté le dernier Bernard Henri Lévy « Ce grand cadavre à la renverse« . J’en avais marre de ne voir en librairie que des pamphlets anti ou pro Ségolène Royal. J’avais envi de hauteur d’un regard extérieur sur les fondements de la gauche. Je ne l’ai pas encore commencé mais j’ai en ce moment envie de lire un livre qui s’attache plus aux idées qu’aux personnes.
La garde des Sceaux, Rachida Dati, a annoncé samedi à Bourges la suppression de 11 tribunaux d’instance dans le ressort des cours d’appel d’Orléans et de Bourges, a constaté un correspondant de l’AFP.



Avec ce titre provocateur, je souhaite passer un coup de gueule. 20 bouquins incendiaires et inquisiteurs sur la campagne présidentielle sont ou vont sortir en librairie. Qu’apportent-t-ils vraiment au débat ?
On gagnerai ensemble, et la défaite serait personnelle ? La défaite n’est pas uniquement le fait de la capacité de tel ou tel candidat mais bien de notre programme voir nos pratiques durant cette campagne. Je ne dis pas que Ségolène est exentée de tout reproche. La défaite est collective, chacun à son niveau, et au sein du PS on doit le reconnaître pour pouvoir avancer. La cohésion voir même la discipline de parti (oui j’ose le dire) a fait défaut lors de cette campagne. Nulle doute qu’il est maintenant à la mode de critiquer la campagne présidentielle, mais une question me vient à l’esprit, tous ces donneurs de leçons, d’après guerre, pourquoi n’ont ils pas réagis plus tôt ? Le choix de recourir aux primaires n’était-il pas la meilleure solution si tardive soit elle ? Les militants (qui ont tous été un jour des nouveaux) sont aveugles et ne réfléchissent que par le prisme des médias ? Laissez moi en douter…
La rénovation de la gauche en général et du PS en particulier ne peut pas passer par une querelle de personnes. La réflexion doit porter sur nos valeurs, nos principes et notre structuration. En effet, le débat idéologique ne doit écarter une nécessaire réflexion sur l’organisation même du Parti Socialiste.
L’un des blogs les plus suivis par les journalistes et les blogueurs, celui de l’éditeur et chroniqueur Guy Birenbaum, s’arrête, ce lundi.
Le Parti Socialiste tenait son université d’été à La Rochelle du 31 au 2 Septembre. Ce moment est très attendu par tous les militants socialistes. Il sonne la rentrée politique à gauche. Il est vrai que cette rentrée avait déjà été amorcée par les fêtes de la Rose de Melle et de Frangy la semaine précédente. Chaque année une spécialité. L’année dernière il s’agissait du bal des prétendants à la désignation interne, cette année il s’agissait plutôt du bal des absents. Qui allait être présent à cette université d’été ? A entendre la longue liste des absents, François Hollande pensait même se retrouver tout seul à La Rochelle. Bien au contraire, nous étions bien plus nombreux que les années précédentes, plus de 3 500 militants et élus ont fait le déplacement pour échanger, débattre et ainsi commencer la fameuse et dorénavant célèbre rénovation.
Tout à commencer vendredi en début d’après midi par le discours d’ouverture de Ségolène Royal, je ne pourrais pas en parler ici et vous renvoi donc aux médias traditionnels car il a eu lieu dans l’auditorium de l’espace Encan au nombre de places très limités.
Ensuite on eu lieu les premiers ateliers, j’ai pour ma part participé à celui animé par Delphine Batho sur “Sondages, anticipation ou précipitation ?” en présence de Jérôme Sainte-Marie, directeur de l’institut de sondages BVA Opinion. Vous pourrez trouver à cette 
Quand certains préfèrent le
Et donc m
Et oui, le « demi » à la rentrée sera plus cher que lors des vacances. La faute à qui ? A l’augmentation du prix des céréales, (l’orge pour la bière, le blé pour le pain).


Comment se construit l’Europe au quotidien ? Qui sont ces femmes et ces hommes qui, patiemment, tissent des liens sans cesse plus étroits entre des pays que leur histoire opposait ? Que se passe-t-il derrière les « portes closes » bruxelloises ? Comment se fabrique l’information européenne ?
