La rentrée des mauvais élèves !
Lundi 17 août, à deux semaines de la rentrée des classes, le ministre de l’éducation, Luc Chatel, s’est invité dans un supermarché pour vanter son opération « les essentiels de la rentrée » proposant des fournitures scolaires à prix inchangé par rapport à 2008, résultat d’un accord entre le ministère de l’éducation et des enseignes de distribution. Opération classique de communication mais renforcée de manière douteuse, selon les journalistes présents, par des figurants, sympatisants UMP ou employés de l’enseigne visitée.
Accompagné du secrétaire d’Etat au commerce, Hervé Novelli, M. Chatel s’était rendu dans un magasin du Val-de-Marne où l’attendaient les journalistes et des clientes ravies de l’opération leur permettant d’obtenir « des prix intéressants et assez bas ». Très vite, certains journalistes présents ont émis des doutes vis-à-vis de ces femmes n’ayant que des fournitures scolaires dans leur Caddie, très au courant des modalités de l’opération et restant plantées au même rayon avant l’arrivée de la délégation.
Une des personnes interrogées par le ministre et ayant dit se trouver là par hasard s’est en effet révélée conseillère municipale (de droite) de Vulaines-sur-Seine (Seine-et-Marne), village situé à une cinquantaine de kilomètres de l’Intermarché en question. Certaines des « figurantes » sont mêmes reparties ensemble sans finalement rien acheter dans la grande surface.
(Source Le Monde .fr)
On prend un autre ministre et on recommence… 2009 bis repetita !
Il s’agit d’une habitude à droite car déjà Nadine Morano avait fait de même en 2008 …
La vidéo mise en ligne par le site d’information Rue89 a été tournée le mercredi 20 Août 2008, à la veille du conseil des ministres de rentrée. La secrétaire d’Etat, Nadine Morano, est en déplacement au Carrefour de Nice, accompagnée de caméras, pour communiquer autour du versement de l’allocation de rentrée scolaire (ARS). La première cliente qu’elle croise lui explique que l’ARS est insuffisante. La secrétaire d’Etat poursuit donc la visite en cherchant une réaction plus positive.
C’est là que le directeur adjoint de son cabinet lui fait signe pour qu’elle se dirige vers un client satisfait. Face caméra, ce père de famille explique à la secrétaire d’Etat qu’il a bien constaté une baisse des fournitures scolaires. Satisfait de l’ARS, il rend hommage à l’action de Xavier Darcos, qui a négocié avec les grandes enseignes pour limiter les prix des fournitures de base. Nadine Morano, qui tient enfin les images qu’elle cherchait, est ravie.
(source http://www.politique.net )

Le sujet est à la mode. Mais, je suis mal à l’aise comme beaucoup de français, sur cette question. Autant je ne partage pas les obligations vestimentaires religieuses: Obliger une femme à se cacher par peur des réactions des hommes, de leur regard, de leurs pensées… Autant la réponse envisagée ne me semble pas appropriée, voir stigmatisant…
« Sommes-nous aujourd’hui, dans la réponse que nous apportons à la crise, à la hauteur de la crise ? Ma réponse est claire, c’est non. » Dominique De Villepin
Gemalto, leader mondial de la sécurité numérique, s’est vu décerner le prix 2008 de la meilleure performance boursière à l’occasion des BFM Awards, qui saluent chaque année les entreprises les plus innovantes et les plus entrepreneuriales.
Il n’y a pas qu’aux Etats-Unis que l’on vote et que l’on défend le changement !



A la lecture du net, vous pourrez trouver un grand nombre des contributions qui seront présentées cette semaine et déposées mardi prochain. Pour faciliter vos lectures, vous trouverez ci-dessous un grand nombre de contributions générales. (en attente des autres)
Pour la sixième année, le jury du Prix « Press Club, Humour et Politique », présidé par Jean Miot va récompenser l’auteur de la phrase la plus hilarante de l’année, qu’il s’agisse indistinctement d’humour volontaire ou involontaire. Ce Prix a été attribué en juin 2007 à Patrick Devedjian qui avait dit « Je suis pour un gouvernement d’ouverture ; y compris aux Sarkozistes, c’est tout dire » et à Pierre Lellouche – Prix Spécial – pour la phrase : « La Royal a coulé la Marine ».
Après Ségolène Royal, c’est au tour de Bertrand Delanoë de mettre sur la toile ses premières réflexions, prémices d’une motion pour le congrès du PS.




Le texte de base
» Être socialiste, c’est ne pas se satisfaire du monde tel qu’il est. L’idée socialiste relève, à la fois, d’une révolte contre les injustices et de l’espérance pour une vie meilleure. Le but de l’action socialiste est l’émancipation complète de la personne humaine et la sauvegarde de la planète. «
Même si le style est un peu « techno » les principes sont précis et ambitieux. Je ne vois pas pour le moment de modifications profondes à apporter à ce texte, peut être ajouter une référence au « réformisme de gauche« . Une large place est laissée à la prise en compte du développement durable dans cette déclaration, voir même un peu trop. Cela marque une réelle rupture avec notre tradition productiviste. La critique du capitalisme semble malgré tout être une simple condamnation morale. L’économie de marché est reconnue mais il y a heureusement une contestation des dérives du capitalisme financier.
